
Les bols chantants tibétains
Ces bols sont utilisés dans le contexte de médecine traditionnelle purement tibétaine. A chaque chakra son bol associé, et une harmonisation énergétique se tisse entre les “roues spirituelles”, permettant un à un le déblocage de celles-ci.

Les diapasons
qui sont en quelque sorte une « acuponcture sonore » permettent la relaxation des points précis du corps et facilitent la circulation nerveuse de l’information vitale. Les vibrations de cette phonophorèse sont captées par les récepteurs de la peau (les neuropeptides) et transitent par les méridiens.

Les bols chantants himalayens
pouvant provenir du Bhoutan, de l’Inde ou du Népal, sont utilisés selon leur poids, leur forme et leur tonalité afin de travailler sur « le corps sonore » des pieds jusqu’à la tête, selon les techniques de Peter Hess (Allemagne)
ou Hans de Bach (Hollande).

Les bols « planétaires »
selon les recherches du mathématicien-astrologue-musicologue Hans Cousto et des enseignements d’Irène Ernst (Medson), servant de reconnexion entre notre énergie racine et celle, universelle, qui nous entoure.

Les gongs
pour balayer les énergies nuisibles dans tout le corps et privilégie la méditation consciente.

Les carillons
appréciés de tous. Beaucoup utilisés en fin de séance, c’est la « touche finale », magique du voyage, perçue sous forme de berceuse.